L'architecte de BIH Mr Fadil Mamoudou le PDG
Faire des affaires avec efficacité en cette ère difficile de globalisation tous azimuts reste un défi majeur. Beaucoup plus encore pour la jeune grande Africaine, condamnée à très court terme à faire mentir l’afro pessimisme ambiant.
Si jusqu’ici ont triomphé, pour l’essentiel, les méthodes traditionelles de négoce; il devient très urgent, compte tenu des exigences de la modernité, de repenser pour s’adapter, les règles nouvelles du commerce international. C’est dans cette logique évidemment que s’inscrit la création de BUSINESS & INVESTMENT HOLDING (BIH), un « un think tank » d’affaires, d’appui et de partenariat aux échanges commerciaux dans leur diversité.
Cette ambitieuse idée était dans mes esprits depuis des lustres car, de par mes expériences professionnelles et des acquis dans mes universités Américaines, j’ai pu déduire très rapidement que l’Afrique, pourtant continent très riche dans tous les domaines, accusait des gros retards qu’il faillait combler le plus rapidement possible: retard d’idées, retard de perspectives et même retard d’ambitions. Rester à la traine d’un monde qui bouge et tend à se rapprocher, n’est pas assurément une bonne publicité pour l’ensemble du continent.
C’est pourquoi BUSINESS & INVESTMENT HOLDING (BIH), mieux qu’une simple officine de tractations commerciales, se veut aussi le génie d’un art Africain de commercer bien loin de nombreuses idées reçues.
Tout simplement il s’agit à travers son existence et sa viabilité de démontrer aux yeux du monde, la possible adaptation des fils du continent au jeu devenu compliqué des flux et reflux des échanges commerciaux.
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